BIOVIVA - Miam'Nature qui mange quoi?

Sommaire

  1. Comment on a commencé les jeux de société avec notre fils?
  2. Résumé
  3. Pourquoi j’aime BIOVIVA - Miam’Nature qui mange quoi?

Langue : Français.
Marque : Bioviva.
Age : A partir de 3 ans.
Durée : moins de 30 minutes.
Nombre de joueurs : jusqu’à 4.

Comment on a commencé les jeux de société avec notre fils?

Notre aventure des jeux de société avec notre fils a commencé avec Mon Premier Jeu Les Petites Souris. Un jeu parfait pour débuter en douceur. Petit à petit, nous avons découvert d’autres jeux ensemble, comme celui-ci.

Résumé

“Miam’Nature - Qui Mange Quoi ? est un jeu coopératif où les joueurs doivent trouver les aliments qui correspondent à chaque espèce animale.

Les animaux ont très envie d’un bon repas. Aide-les à trouver leur nourriture !

Comment jouer L’escargot, le lapin, la souris et l’écureuil ont faim. Tous ensemble, les joueurs tentent de remplir au moins deux de leurs garde-manger.

Pour cela, les joueurs déplacent les animaux de tuile en tuile le long des chemins pour trouver les aliments correspondants à chacune des espèces. Mais gare aux prédateurs qui rôdent et à la nuit qui tombe…

Si deux garde-manger sont complets avant la tombée de la nuit, tous les joueurs ont gagné !”

Pourquoi j’aime BIOVIVA - Miam’Nature qui mange quoi?

Un jeu coopératif à la découverte des animaux Un jeu coopératif à la découverte des animaux

Déroulement d'une partie Déroulement d’une partie

  • Permet d’introduire en douceur les notions de chaîne alimentaire, de prédateurs et de régimes alimentaires (comme l’écureuil, la souris, l’escargot, le lapin), à travers des associations simples et des illustrations colorées.
  • Permet d’exercer la mémoire en retenant l’emplacement de sa nourriture ou de son prédateur.
  • Un moment de partage en famille.
  • Des règles plus complexes sans être frustrante.

Un joli jeu où l’on découvre la nature, sans la rigidité des jeux éducatifs. Vous pouvez le retrouver ici sur Amazon: BIOVIVA - Miam’Nature qui mange quoi?.

Et si on échangeait?